lundi 31 juillet 2017

Prochaine étape dans la débâcle Bergoglienne
L'Église Gay se révèle
[ En anglais : l’Église Gay fait son « coming out » ]


Joseph Tobin qui pompe du fer
et qui accueille des « couples homosexuels » à sa cathédrale
Un Cardinal Bergoglien pour la nouvelle Église Gay


par Christopher A. Ferrara
SOURCE : The Remnant
Le 29 juillet 2017

Introduction

Comme je l'ai noté dans ces pages plus d'une fois, la nouveauté essentielle du pontificat Bergoglien, même au milieu de la mer turbulente des nouveautés qu’il y a à l'époque post-conciliaire, constitue son assaut soigneusement planifié et implacablement exécuté sur le Sixième Commandement sous le prétexte d’« accompagner et d’intégrer » les pécheurs publics » impliqués dans des « deuxièmes mariages » et d'autres « unions irrégulières » par un vague processus de « discernement » de leurs « situations concrètes ». En d'autres termes, une forme d’éthique de situation en matière sexuelle. Ce développement est simplement apocalyptique. Il n'y a pas d'autre mot pour ce dont nous assistons.

Dès le début, cet assaut visait également à intégrer les praticiens habituels de la sodomie et leurs « unions homosexuelles ».

L'auteur de cet éditorial est Monsieur Christopher A. Ferrara. Monsieur Ferrara est avocat de profession. Il agissait aussi comme collaborateur principal de Feu Père Nicholas Gruner, fondateur du Centre de Fatima, Fort Érié, Canada et ayant aussi des installations à Rome. Il est chroniqueur dans plusieurs autres sites catholiques dont Le Remnant Newspaper.

Nous ne devons pas oublier que c'est Bergoglio qui a initié la mise en route de l’histoire des tapettes en approuvant et en ordonnant la publication d'un document faussement présenté au monde comme la Relatio de mi-parcours des Pères Synodaux en 2014 alors qu'ils ne l'avaient même pas vu et l'ont rejeté de façon retentissante une fois qu’ils en ont eu accès.

Nous lisons ce qui suit :

« Les homosexuels ont des dons et des qualités à offrir à la communauté Chrétienne : sommes-nous capables d'accueillir ces personnes, en leur garantissant un espace fraternel dans nos communautés ? Souvent, ils souhaitent rencontrer une église qui leur offre une maison accueillante. Est-ce que nos communautés sont capables de fournir cela, d'accepter et de valoriser leur orientation sexuelle, sans compromettre la Doctrine Catholique sur la famille et le mariage ? »

La création d'une « maison accueillante » pour les homosexuels et les homosexuels devrait inclure la reconnaissance de leur moquerie diabolique du mariage. Par conséquent, le même document déclare que même si « les unions homosexuelles ne peuvent être assimilées au mariage entre hommes et femmes ... Il y a des cas où le soutien réciproque jusqu’au point du sacrifice constitue un soutien précieux pour la vie des partenaires ».

C'est Bergoglio qui a insisté pour que ce texte abominable soit inclus dans les actes du Synode 2015, comme si les Pères l'avaient adopté, malgré leur rejet du « document le plus choquant de l'histoire de Rome » dont la publication frauduleuse présentée comme étant « leur » rapport a contribué à déclencher une rébellion ouverte contre la manipulation maladroite de Bergoglio dans les procédures synodales. (Note : les traductions en anglais, français et espagnol du document Italien original semblent avoir été purgées du site du Vatican, seules les versions Italienne et Portugaise restent.)

Considérez les indications suivantes pour connaître la position du Pape Bergoglio concernant la marche conquérante du militantisme homosexuel dans l'Église et l'État :

  • Au de son pontificat, Bergoglio a nommé un homosexuel notoire, Mgr. Battista Ricca, comme prélat de sa propre maison papale et de la soi-disant banque du Vatican.

  • Confronté au scandale de la nomination de Ricca lors d'une conférence de presse aéroportée, Bergoglio a prononcé son infâme : « Qui suis-je pour juger ? » concernant « une personne [qui] est gay et qui cherche Dieu et a de la bonne volonté ... » signifiant un homosexuel actif pour qui il est démontré incontestablement qu’il a été impliqué dans de nombreuses relations sodomites, y compris un jeune homme avec qui il a été pris dans un ascenseur bloqué.

  • Donnant le ton pour l'ensemble du projet de l'émergence de l'Église Gay, dans une entrevue infâme du magazine America de septembre 2013, le Pape Bergoglio se moqua de l'idée même de désapprouver la conduite homosexuelle : « Une personne m'a demandé une fois, de manière provocante, si j'avais approuvé l'homosexualité. J'ai répondu avec une autre question : « Dites-moi : quand Dieu regarde une personne gaie, est-ce qu'il appuie l'existence de cette personne avec de l’amour ou refuse et condamne cette personne ? » Nous devons toujours considérer la personne. Nous entrons ici dans le mystère de l'être humain. Dans la vie, Dieu accompagne les personnes et nous devons les accompagner, à partir de leur situation... »

  • Bergoglio a depuis fait un grand spectacle en rencontrant personnellement et en embrassant physiquement un assortiment de déviants, acceptant même le « mariage » d'une femme prétendant être un homme qui « a épousé » une autre femme.


    Des amours de fond de cour !
    Durée : 48 secondes
  • Bergoglio a embrassé ostensiblement la main et concélébré la Messe avec un prêtre militant pro-homosexuel notoire et a prié à la tombe du prêtre protestant pro-communiste, Lorenzo Milani, décrit par le journal favori radical de gauche du Pape Bergoglio — La Repubblica — comme « un artiste bohémien d’une homosexualité non décontenancée », dont la correspondance comprend des références épaisses et dépravées de son amour pour les garçons qu'il a admis qu’elles suscitaient chez lui des tentations de les abuser sexuellement, retenues par la peur de l'Enfer.

    Bergoglio a refusé de se prononcer contre la légalisation des « unions homosexuelles », des « mariages gay » ou même de l’« adoption par les gais » en Italie, en Irlande, aux États-Unis et à Malte. Pour ce défaut de son devoir en tant que Pape, il offre l'excuse que « le Pape ne se place pas dans la politique concrète d'un pays », ce qui, au contraire, est exactement ce qu'il fait quand il s'agit de diverses questions politiques au-delà de sa compétence, tels que le « changement climatique » et la politique d'immigration.

  • L'un des rares et francs adversaires épiscopaux de l'émergente « Église Gay » est l'Archevêque Charles Chaput, nommé Archevêque par le Pape Benoît XVI. Chaput, qui a été élu délégué des États-Unis au Synode frauduleux, a publié des directives pastorales interdisant la Sainte Communion à des « couples homosexuels » sexuellement actifs, ainsi qu’aux couples divorcés/«remariés » qui continuent dans leurs relations sexuelles adultères. De manière révélatrice, François refuse de faire de Chaput un Cardinal, le reportant de consistoire en consistoire même si Philadelphie est traditionnellement un Cardinalat majeur.

Maintenant, avec la main lourde de Bergoglio sur la barre de la Barque de Pierre, qu'il tire de plus en plus violemment vers la gauche, les homosexuels qui infestaient l'Église à tous les niveaux au milieu de la pire crise de l'Église en 2 000 ans « se révèlent » [ en anglais : ils font leur « coming out » ] partout, souvent avec l'aide directe de Bergoglio.

Voici une distribution croissante de promoteurs et d'acolytes de « l’Église Gay » :


La coqueluche LGBT grand public — James Martin, SJ
La photo parle d'elle-même

Le collet monté ennuyeux, James Martin, qui aime beaucoup dire : « Que diable ! » est un promoteur implacable du sacerdoce « gay » et du mariage « gay ». Il a non seulement échappé à toute sanction ecclésiastique pour sa subversion de l'enseignement moral infaillible de l'Église, mais Bergoglio l'a fait un consultant du Secrétariat aux Communications Sociales du Vatican. Évidemment, le Vatican de Bergoglio embrasse son activisme pro-homosexuel, y compris un livre sur « Construire un pont » entre l'Église et l'imaginaire « communauté LGBT » où Martin rejette simplement l'enseignement de l'Église qui est affirmé même dans le « Catéchisme » mis à jour par Jean-Paul II , à savoir que la condition homosexuelle est intrinsèquement désordonnée (Martin préférerait l'appeler « autrement ordonnée »), que les actes homosexuels sont gravement dépravés et que la sodomie est un péché.

Martin promeut assidument l'idée que Dieu a « créé » les homosexuels et les « transgenres » en tant que tels, ce qui ne peut seulement que signifier qu'il les a dotés de troubles intrinsèques les inclinant à des actes de dépravation grave.

Dans une vidéo défendant son livre, Martin récite l'enseignement de l'Église sur l'immoralité intrinsèque de la sodomie et la rejette rapidement comme n'ayant pas été « reçu » par la « communauté LGBT ». Le reste de la vidéo, présentant des images de joyeux « gays » dans leurs relations « homosexuelles » heureuses, plaide pour l'intégration de la « communauté LGBT » dans l'Église.


Walter Kasper
De Moderniste brûlé à théologien en chef
de l'Âge Bergoglien de la Miséricorde. Salut !

Le Cardinal Walter Kasper, théologien préféré de Bergoglio dont la notion Moderniste de la « miséricorde » a animé tout le programme Bergoglien d'insurrection morale, a défendu la légalisation par l'Irlande du « mariage homosexuel » en 2015 : « Un État démocratique a le devoir de respecter la volonté du peuple ; et il semble clair que, si la majorité des gens veulent de telles unions homosexuelles, l'État a le devoir de reconnaître ces droits » .


Reinhard Marx : icône pro-gay d'un riche hiérarchie Allemande gonflée et corrompue

Le Cardinal Reinhard Marx a informé la presse mondiale que Bergoglio a exprimé sa « joie » en donnant son autorisation aux Évêques Allemands de donner la Sainte Communion pour les adeptes d’Amoris Laetitia ; Marx ne voit aucun problème avec la récente légalisation du « mariage gay » en Allemagne. Le vrai problème, dit-il, est que « l'Église n'a pas été exactement une pionnière en ce qui concerne les droits des homosexuels ». Concernant le « mariage gay » Marx a déclaré : « La position Chrétienne est une chose. C'est une autre chose de demander si je peux respecter toutes les lois sur les concepts moraux Chrétiens. Quiconque ne comprend pas que l’un ne conduit pas automatiquement à l'autre, n'a pas compris l'essence même de la société moderne ».


Christoph Schönborn :
L'interprète « officiel » d'Amoris Laetitia et faux porte-parole conservateur
sur les thèmes grand public du « mariage gay » et de l’« adoption gay ».

Le Cardinal Christoph Schönborn, que François a qualifié de « grand théologien » sous l'impression embarrassante erronée qu’ « il était le Secrétaire de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi » ouvre la voie à l'acceptation par l'Église du « mariage homosexuel », de l'adoption par les gais » et des « familles LGBT ». Comme l'a rapporté Life Site News, lors d'une entrevue de 2014 à La Civiltà Cattolica, dont le contenu est contrôlé par le Secrétairerie d'État du Vatican de Bergoglio, le Cardinal Parolin, Schönborn a déclaré : « Nous pouvons et nous devons respecter la décision de former une union avec une personne de même sexe, [et] chercher des moyens en droit civil pour protéger leur vie avec les lois pour assurer une telle protection ». Bergoglio a désigné Schönborn comme son « interprète » de confiance pour Amoris Laetitia.


L'hommage du Cardinal Schönborn à l'heureuse et tellement normale « famille LGBT »

La propre cathédrale de Schönborn à Vienne a publié une brochure sur Amoris Laetitia qui présente un « couple gay » et l'enfant adopté qu’ils ont brutalisé en le privant d'une mère et d'un père. Le texte qui l'accompagne, écrit par l'un des « deux papas » de l'enfant, se vante de leur « famille Arc-en-Ciel, famille moderne, famille non conventionnelle ... il y a beaucoup de titres pour notre joli nid de sanctuaire. Mais nous ne sommes pas si spéciaux, nous, c'est-à-dire: papa Bernd, Papi Georg et fils Siya ... » Selon le rapport de Life Site News, « Papa et Papi » « prévoient se livrer à une autre victime innocente d'une « adoption gay » : une petite fille âgée de trois ans de Johannesburg, Afrique du Sud.


Mgr Vincenzio Paglia:
Le Parfait avec des lunettes de soleil « gay », il s'est lui-même peint
dans une murale homoérotique dans sa cathédrale

Le Pape Bergoglio a fait de ce prélat notoirement « pro-gay » le chef de l'Académie Pontificale pour la Vie ainsi que Grand Chancelier de l'Institut Pontifical Jean Paul II pour les Études sur le Mariage et la Famille. Bergoglio a neutralisé ces deux institutions du Vatican en renvoyant tous leurs membres précédents et en nommant (entre autres) des membres pro-avortement et pro-euthanasie ; Paglia défend ces nominations et réécrit aussi les énoncés de mission et les statuts de ces organismes. Comme le souligne le site de Life Site, l'installation de Paglia en tant que chef des deux institutions de Bergoglio fait partie d'une « révision apparente ... en faveur d'un écart à la fidélité à l'enseignement Catholique sur la vie ».

Paglia « a payé un artiste homosexuel pour peindre une murale homoérotique blasphématoire dans son église cathédrale en 2007. La peinture murale comprend une image de l'Archevêque lui-même ».


Blase Cupich, promoteur au verbe facile de la Sainte Communion pour les praticiens de la sodomie

Le Cardinal Blase Cupich, un LGBT Bergoglien grand public, a rapidement annoncé une voie pour la réception de la Sainte Communion par des « couples homosexuels » lors de son installation comme Archevêque de Chicago. Sur la base de leur conscience « inviolable », ils pourraient se joindre à la balustrade de la Communion (ou à la file de pain Novus Ordo), avec les adultères publics en « seconds mariages » que Cupich accueille pendant qu'ils « discernent ce qu'est la volonté de Dieu ».


Bergoglio et Cupich: Beaucoup de beurk à mesure que l'Église Gay s’élève

Comme l'a déclaré Cupich lors d'une conférence de presse au Bureau de Presse du Vatican: « Je pense que les homosexuels sont aussi des êtres humains et ils ont une conscience ». La nouvelle gnose du « discernement » Bergoglien, dit-il, est « pour tout le monde ». « Je pense que nous devons nous assurer que nous ne mettons pas les gens dans une « case » comme s’ils ne faisaient pas partie de la famille humaine, comme s'il existait un ensemble de règles différentes pour eux. Ce serait une grosse erreur ». En d'autres termes, les « couples homosexuels » habituellement impliqués dans la sodomie ont le même droit que les adultères hétérosexuels de recevoir la Sainte Communion tout en« discernant » de cesser de commettre la sodomie — une décision qui leur incombe tout à fait.


Timothy Dolan:
S’esclaffer sur son chemin vers la montée de l'Église Gay

Lorsque le joueur de football professionnel Michael Sam « s’est révélé publiquement » en tant qu'homme homosexuel en 2014, le Cardinal Timothy Dolan, dont l'Archidiocèse de New York est complètement infesté de prêtres homosexuels, a déclaré à la télévision nationale: « Bon pour lui. Je n'aurais aucun sens de jugement sur lui. Que Dieu le bénisse ... La même Bible qui nous dit que nous enseignons bien les vertus de la chasteté et la vertu de la fidélité et du mariage nous dit aussi de ne pas juger les gens. Donc, je dirais : « Bravo » ». Dolan fut honoré de façon infâme Grand Marshall à la parade de la Saint Patrick en 2015 malgré l'inclusion d'un contingent de la « Parade Gay », rempli de bannières de la « Fierté Gay ».


Joseph Tobin, ami de la « communauté LGBT »
Toujours avec de grands sourires, ces gens-là

Le Cardinal Joseph Tobin, nommé Cardinal par Bergoglio et placé à la tête de l'Archidiocèse de Newark, a donné sa bénédiction le mois dernier à un pèlerinage gay qui s'est terminé par une Messe sacrilège à la Cathédrale de Newark. L'un des homosexuels militants qui a participé à cette abomination a qualifié la bénédiction du Cardinal de « miracle ». Le New York Times a salué l'événement sous le titre suivant: « Alors que l’Église change, un Cardinal accueille les gays; ils embrassent un « miracle ».

Tobin soutient la propagande pro-LGBT de Martin et loue son livre : « Dans de nombreuses parties de notre Église, les personnes LGBT se sont senties indésirables, exclues et même honteuses. Le nouveau livre inspirant de Martin invite les chefs d'Église à faire preuve de plus de compassion et rappelle aux Catholiques LGBT qu'ils font autant partie de notre Église que tout autre Catholique ».


Kevin Farrell :
Un autre nommé par François, souriant, chaleureux and vague,
Un « Prince de l’Église » avenant aux gay

Elevé au statut de Cardinal par — qui d'autre ? — le Pape Bergoglio, Kevin Farrell avance scrupuleusement dans la brigade Cardinale « homophile » de Bergoglio. Il respecte également l'appel de Martin pour intégrer l'homosexualité et le « transgenderisme » dans l'Église. Louant le livre de Martin, il déclare : « C’est « un livre de bienvenue et très nécessaire qui aidera les Catholiques LGBT à se sentir plus à l'aise dans ce qui est, après tout, leur Église ». Le prélat « gay », de manière appropriée, a été nommé chef du nouveau Dicastère de Bergoglio, pour les Laïcs, la Famille et la Vie qui devrait accomplir autant pour la famille que le faux Synode a fait.

Life Site News résume le rôle crucial des Cardinaux de Bergoglio dans la subversion de Martin : « Les Cardinaux nommés par François appuient le livre pro-LGBT du Jésuite ».


L’Évêque Pro-« Gay » Robert McElroy,
Avec la mine joyeuse requise

L'Évêque Robert McElroy, chef du Diocèse de San Diego, une des recrues du corps en expansion des troupes de choc « gay » que Bergoglio installe dans les diocèses clés, a loué le livre de Martin : « L'Évangile exige que les Catholiques LGBT soient sincèrement aimés et chéris dans la vie de l'Église. Ils ne le sont pas. Martin nous fournit le langage, la perspective et le sentiment d'urgence pour entreprendre la tâche Chrétienne ardue mais monumentale consistant à remplacer une culture d'aliénation par une culture d'inclusion miséricordieuse ».

McElroy a également exigé que son diocèse soit « profondément inclusif : embrasser les mères et les pères magnifiquement liés à leur amour marital et à l'amour de leurs enfants, ainsi que ... les familles LGBT ... » Il proclame que l'enseignement du Catéchisme selon lequel l'homosexualité est « intrinsèquement désordonnée » est « un langage très destructeur que, je pense, nous ne devrions pas utiliser de façon pastorale ». McElroy a déjà explicitement autorisé la Sainte Communion pour les divorcés/« remariés » qui « discernent » qu'ils ne sont pas coupables d'adultère, tout en n'entravant aucun obstacle à la Sainte Communion pour les sodomites .


L'Évêque auxiliaire pro-gay Robert Dolan :
servant sous McElroy, accueillant ici des homosexuels à sa paroisse gay.
Gardez le sourire ! Joie !

Une nouvelle recrue pour la hiérarchie croissante gay-friendly du Pape Bergoglio est en train de s’installer, le Père Robert Dolan a été fait Évêque auxiliaire de McElroy le 29 juin dernier. Dolan est considéré comme « Vice Perturbateur » sous McElroy, ce qui signifie qu'il fait partie de la préférence Bergoglienne que McElroy décrit comme « des dirigeants pastoraux plutôt que des théologiens » avec « plus de connaissance du petit quotidien de la vie ».

Le « petit quotidien de la vie » comprend une opposition épiscopale aux politiques d'immigration du président Trump, menée par McElroy, le massacre des enfants à naître n'étant pas une grosse affaire sous le Pape Bergoglio. Le « petit quotidien de la vie » doit également inclure l'« étreinte de la communauté LGBT ». En conséquence, Dolan a servi de « pasteur d'une « paroisse accueillante » dans le district gay et lesbien de la ville », qui a permis à Dolan de « s’ouvrir les yeux mais aussi de faire une expérience joyeuse ».

Joie, joie, joie ! Il y a une joie sans fin et insatiable dans l’Église Gay — maintenant ouverte aux affaires dans le « quartier gay et lesbien » de chaque ville, ce qui nécessite naturellement au moins une paroisse gay et lesbienne. Parce que, comme chacun le sait, les « Catholiques gais et lesbiens » sont différents des simples Catholiques. On ne peut s'attendre à ce qu'ils assistent à toute ancienne paroisse Catholique. Oh, non, non, non ! Ils doivent avoir leurs propres paroisses spéciales où ils peuvent être « accueillis » avec toute leur gaieté et leur lesbianisme en plein affichage public.


Père Thomas Rosica : Méchant chien d'attaque « LGBT »

L’insupportable et suffisant Père Thomas Rosica, attaché du Bureau de Presse du Vatican durant le Synode Bidon, a déclaré avec indignation lors des procédures frauduleuses : « Le Jubilé de la Miséricorde exige un langage de miséricorde, notamment en ce qui concerne les homosexuels ou les homosexuels. Nous n’avons pas de pitié pour les homosexuels, mais nous les reconnaissons pour ce qu'ils sont. Ce sont nos fils, nos filles et nos frères et nos sœurs ».

En assumant le rôle du chien d'attaque LGBT, Rosica a bombardé Chaput et d'autres Évêques (faisant allusion à « certains Évêques ») qui ont critiqué le livre de Martin et la campagne grand public LGBT en général, les accusant d’« ériger des murs élevés, impénétrables et des chambres d'écho bruyantes de monologue » et en attribuant une opposition à la propagande de Martin en parlant de « ténèbres, de la partie dysfonctionnelle de la blogosphère Catholique... »

Rosica est revenu sur le Synode Bidon au cours duquel « les Évêques courageux et les Cardinaux de l'Église ont défié leurs frères Évêques et les délégués synodaux à être attentifs à notre langage en parlant de personnes homosexuelles ». Il a salué le Cardinal John Dew de Nouvelle-Zélande en particulier pour son « plaidoyer fervent en faveur d’examiner notre langage ecclésial de « désordre intrinsèque » pour décrire les personnes homosexuelles ». La langue du catéchisme, selon Rosica, n'est qu'une « théologie scolastique » qui « manque [la] cible et finit à faire plus de dommage que de bien ».

En faisant allusion à l'un des slogans démagogiques de Bergoglio, Rosica a déclaré : « La réalité est plus importante que les grandes idées théologiques ou philosophiques » — signifiant ainsi les préceptes négatifs de la loi naturelle, y compris l'inadmissibilité absolue de la sodomie.


Robert Barron :
Un télégénique qui pédale bien doucement dans l'enseignement Catholique
concernant le mal intrinsèque de la sodomie et l'abomination du « mariage homosexuel »

Parallèlement aux promoteurs les plus évidents de « l'Église Gay », les commentateurs « conservateurs » au doux parler, tels que l'Évêque Robert Barron — évidemment nommé Évêque par Bergoglio, bien sûr — ont favorisé la même mission en insistant sur le fait que l'Église n'est pas « anti-gay » et s'excusant pour sa prétendue insensibilité aux « personnes homosexuelles », tout en pédalant doucement sur le mal intrinsèque et la dépravation de la sodomie comme simplement (citant Barron ici) « tombant à court » de « la barre haute » de l'enseignement de l'Église sur la sexualité, réduit alors à un idéal élevé et à une « intégration incomplète de l'acte sexuel » plutôt qu'à un des péchés qui réclame la rétribution divine.

Enfin, mais loin d’être le moindre


Francesco Coccopalmerio :
Le secrétaire personnel qu'il a recommandé comme Évêque a un petit goût pour les orgies gay

Le Cardinal Francesco Coccopalmerio, président du Conseil Pontifical pour les Textes Législatifs, qui a déclaré (basé uniquement sur Amoris Laetitia) que les adultères publics vivant en « deuxièmes mariages » devraient être admis à la Sainte Communion s'ils trouvent « impossible » de s'abstenir de relations sexuelles adultères ; il a également déclaré que si cette permission ne s'étendait pas aux « couples homosexuels » parce que « ce n'est pas une condition naturelle » — pas comme un adultère hétérosexuel « naturel » ! — « Nous pouvons néanmoins les accepter, les accueillir, accepter leur décision ... »

Dans ce qui est sûrement seulement la pointe d'un très grand iceberg, le secrétaire personnel de Coccopalmerio, Luigi Capozzi, a été arrêté au milieu d'une orgie homosexuelle infestée de drogue dans un appartement luxuriant situé dans le même bâtiment que le siège de la Congrégation pour la Doctrine De la foi. Selon le journaliste qui a sorti l'histoire, Francesco Antonio Grana, Coccopalmerio avait recommandé (sans succès) que Capozzi devienne Évêque.

Edward Pentin, incapable d'obtenir un commentaire officiel du Vatican sur le scandale (car il est indéniable), rapporte que sa source à la Curie admet que « l'histoire est vraie » et que « l'étendue de la pratique homosexuelle au Vatican « n'a jamais été aussi pire », malgré les efforts entrepris par Benoît XVI pour éliminer la déviance sexuelle de la Curie après le scandale de Vatileaks en 2012. « Ces efforts ont clairement été non seulement interrompus, mais ont été inversés.

Conclusion

Alors que le Pape Bergoglio continue à « paqueter » le Collège des Cardinaux et l'épiscopat avec des « homosexuels » subversifs ou des dingues libéraux qui ne connaissent rien, les fidèles peuvent juste se préparer pour la prochaine étape de la débâcle de Bergoglienne : la montée de l'Église Gay — tout en priant pour une délivrance rapide (et probablement miraculeuse) des griffes de la Dictature de la Miséricorde.

Dans son article trop louangeur sur le Cardinal Tobin, le New York Times note qu'après avoir été renvoyé du Vatican vers l'Indiana en raison de son échec et de son refus de faire quelque chose d'efficace pour discipliner la peste Américaine des religieuses dissidentes — une tâche qu'il n’appréciait pas de faire — Tobin « a soulevé des poids tôt le matin en portant un chiffon imprimé sur le crâne ». Qu’est-ce qui peut être plus approprié pour représenter le régime Bergoglien « homosexuel » que ce que Tobin illustre si parfaitement avec le symbole universel de la mort ?

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