mercredi 6 septembre 2017

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Pro Liturgia — 6 septembre 2017



Sans doute une nouvelle théologie par le corps ?

* * * * NOUVEAU Mercredi, 6 septembre 2017. « Saname con tu boca. El arte de besar » (Soigne-moi avec ta bouche ; l’art du baiser) est un livre publié en 1995 et qui a été écrit par Mgr Víctor Manuel Fernández, recteur de l’Université Pontificale Catholique de Buenos Aires (Argentine).

L’ouvrage, qui contient de nombreux passages franchement érotiques, est l’œuvre d’un prêtre devenu Archevêque sous l'actuel pontificat.

Il est pour le moins curieux que quelqu’un qui a fait vœu de célibat puisse avoir une telle connaissance de ce qu’on appelle pudiquement l’art du baiser mais qui, au fil des pages du livre, se transforme en façons d’utiliser sa langue...

Il est encore plus curieux d’apprendre que le Mgr Fernandez dont il est question ici est un proche conseiller du Pape François, lequel lui a demandé de participer activement à la rédaction des récents documents magistériels : « Evangelii Gaudium », « Laudato Si » et « Amoris Laetitia » (ce dernier document n’étant que la reprise presque mot pour mot des écrits antérieurs de Mgr Fernandez).

En août dernier, Mgr Fernandez a publié un étonnant document dans lequel il montrait qu’ « Amoris laetitia » n’était pas opposé à l’adultère. Sa thèse avait été publiée dans « Medellin », le journal de la Conférence des Évêques Latino-Américains, sous le titre « Que reste-t-il après la tempête ». On y lisait que l’adultère pratiqué par les divorcés civilement remariés devait être considéré comme un moyen de self-défense nécessitant des exceptions à la règle générale du mariage.

La lecture de « Saname con tu boca. El arte de besar » permet de cerner la personnalité de Mgr Fernandez. Trois extraits :

— « Selon la façon avec laquelle il est fait, le baiser s’appelle un « bisou », un « suçon », un « baiser profond », etc. »

— « Dieu a été cruel en te donnant cette bouche à laquelle personne ne résiste. Chienne, cache-la ! »

— « Ne me demande pas ce qui arrive à ma bouche. Tue-moi avec ton prochain baiser ; saigne-moi à mort. Louve, redonne-moi la paix ! »

François ne devrait-il pas donner à son proche collaborateur l'adresse d'une bonne psychanalyste ?

SOURCE : PRO LITURGIA sous l'onglet ACTUALITÉS en date du 6 septembre 2017

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